Que cela soit dans notre vie quotidienne et sur notre lieu de travail, des agressions ont lieu chaque jour. Ces agressions ont, bien entendu, des effets physiques ou psychologiques sur les victimes.
- Comment les prévoir et les éviter ?
- Quelles sont les conséquences ?
- Qui peut vous aider ?
- Qu’est-ce que l’entreprise doit prévoir ?
Les niveaux et les types d’agressions
- Il y a 3 niveaux dans l’agression
- L’incivilité, (attitude, manque de courtoisie, de politesse),
- L’agression physique ou verbale
- L’acte violent.
- Et 3 types d’agressions
- Des agressions tels que des vols, cambriolages, hold up (secteurs particuliers : banques, …)
- Des agressions physiques, des insultes
- Des actes de vandalismes
Les professions les plus exposées
- Manipulation d'argent ou de valeurs : caissiers, convoyeurs de fonds, employés de banque ou des postes, commissionnaires, personnel de sécurité, vendeurs...
- Services de soins, de conseil ou de formation : infirmier(e)s, ambulanciers, travailleurs sociaux, enseignants...
- Contrôle et application de la loi : agents de police, contrôleurs des transports en commun, gardiens de parc...
- Travail au contact de personnes potentiellement violente : gardiens de prison, personnel de l'hôtellerie et de la restauration, personnel d'établissements psychiatriques...
- Ceux qui travaillent seuls : vendeurs (journaux en kiosque, commerce), démarcheurs à domicile, chauffeurs de taxi, conducteurs dans les transports publics, réparateurs à domicile, livreurs, gestionnaires de station-service, receveurs d'autoroute...
Les conséquences
- Elles sont vastes et dépendent de l’agression et de la victime. Elles peuvent être d’ordre physique et/ou psychologique.
- Physiquement : la gravité des blessures, des griffes, des hématomes, des coupures, … pourrait engendrer la mort de la victime.
- Psychologiquement : tout dépend de l’agression, de la victime, des circonstances, du lieu, de la santé de la victime. On observe des réactions de stress tels que des pleurs, des cris, un renfermement. Et si cela persiste, on observe, des dépressions, des troubles du sommeil, des troubles digestifs, neurologiques et comportementales.
- C’est l’aide apportée à la victime et le soutien psychologique qui déterminera la longévité et la qualité de la guérison.